
Quand la motivation vacille, l’espoir doit grandir
Depuis presque un mois, je me surprends à manquer de motivation pour mes études de BBA. Mon esprit vagabonde, préoccupé par une question obsédante : comment devenir financièrement indépendante en tant que demandeuse d’asile ? Comment gagner un revenu supplémentaire, alors que les aides que je reçois du gouvernement chypriote sont si insuffisantes ?
Je sais que je ne suis pas la seule dans cette situation. Beaucoup d’entre nous, venus chercher la sécurité et une vie meilleure, se retrouvent à jongler entre les factures, le loyer, l’alimentation… et une incertitude constante. Le peu d’argent que je reçois s’envole si vite, et sans un travail stable, la peur de manquer devient un compagnon quotidien.
Mais aujourd’hui, je veux partager mon histoire, mes doutes, mes recherches et, surtout, mon espoir. Peut-être que mon parcours pourra inspirer d’autres femmes, d’autres mères, d’autres étudiants qui, comme moi, rêvent d’une vie meilleure.
Le dilemme du travail et des aides : un choix impossible
Depuis mon arrivée à Chypre, j’ai reçu plusieurs propositions de travail. La première, c’était un poste de femme de ménage à temps partiel : travailler de 7h30 à 14h, tous les jours, pour 600 euros par mois, pendant quatre mois. Sur le papier, cela semble une opportunité. Mais la réalité est bien plus complexe.
En acceptant ce contrat, je perdrais automatiquement mes bénéfices sociaux de 379 euros. Et après ces quatre mois de travail, comment vivrais-je pendant les huit mois restants de l’année, sans aucune aide ? Ce n’est pas une solution durable, c’est un saut dans l’inconnu.
Une autre proposition m’a été faite : assistante de restauration, de 15h à 22h. Mais là encore, un obstacle de taille : ma fille de trois ans sort de l’école à 16h. Comment pourrais-je concilier ce travail avec mon rôle de maman ? Qui s’occuperait d’elle pendant mes heures d’absence ?
Être mère célibataire, demandeuse d’asile, c’est porter un double fardeau. Trouver un emploi sans contrat, à temps partiel, de jour, qui me permette de compléter mes revenus sans perdre mes aides, relève presque de l’impossible. Et pourtant, je refuse de baisser les bras.
La découverte d’une opportunité différente
C’est alors qu’une nouvelle possibilité s’est présentée à moi : le business LR. Une activité qui promet liberté, flexibilité, indépendance financière… mais surtout, la possibilité de travailler depuis chez moi, sur les réseaux sociaux, ou a l’exterieur tout en m’occupant pleinement de ma fille et en poursuivant mes études.
Pour la première fois, j’ai entrevu une lueur d’espoir. Cette opportunité semblait répondre à toutes mes contraintes : pas de déplacements, pas d’horaires imposés, la possibilité de gérer mon temps et de rester présente pour ma fille. Enfin, je pouvais envisager de gagner de l’argent sans sacrifier ni mes études, ni ma vie de maman.
Je suis très intéressée par cette opportunité, mais j’ai aussi conscience qu’il ne suffit pas de se lancer à l’aveugle. Pour réussir, il est essentiel de bien connaître l’entreprise, ses produits, et de maîtriser les bases du marketing et de la vente. En tant qu’étudiante en BBA, je vois dans LR non seulement une opportunité d’affaires, mais aussi une véritable opportunité de carrière.
Se préparer pour réussir : apprendre, s’informer, s’engager
Ma décision est prise : je commencerai cette activité après mes examens de juin 2025. Mais d’ici là, je veux me préparer au mieux. Je veux comprendre le fonctionnement de LR, découvrir ses produits, apprendre à utiliser les réseaux sociaux pour le marketing, et développer mes compétences en vente.
Je crois fermement que la réussite dans ce business dépendra de ma capacité à m’informer, à me former, à m’entourer des bonnes personnes. Je veux bâtir une activité solide, qui me permette d’abord de remplacer les aides de l’État, puis d’atteindre l’indépendance financière que je recherche tant.
À 40 ans, je souhaite offrir à ma fille et à moi-même une vie plus stable, plus confortable, et pourquoi pas, agrandir ma famille. Cette activité peut être le point de départ d’un nouveau chapitre, celui où je prends enfin le contrôle de mon destin.
Les défis à surmonter : entre doutes et détermination
Je ne me fais pas d’illusions : le chemin ne sera pas facile. Il y aura des moments de doute, de découragement, des obstacles à franchir. Mais chaque jour, je me rappelle pourquoi je me bats. Je veux offrir un avenir meilleur à ma fille. Je veux prouver à moi-même, et à toutes les femmes dans ma situation, qu’il est possible de s’en sortir, même quand tout semble contre nous.
Je sais que beaucoup hésitent à se lancer dans une activité indépendante, par peur de l’échec ou du regard des autres. Mais je crois que le plus grand risque, c’est de ne rien tenter. Rester dans l’attente, dépendre des aides, subir les choix des autres… ce n’est pas la vie que je veux.
L’importance du soutien et de la communauté
Dans ce parcours, le soutien est essentiel. J’ai la chance d’avoir rencontré des personnes qui m’encouragent, me conseillent, me motivent à persévérer. Rejoindre une communauté d’entrepreneurs, échanger avec d’autres femmes qui ont réussi grâce à LR, c’est une source d’inspiration et de force.
Si vous aussi, vous cherchez une solution pour sortir de la précarité, pour concilier vie de famille et ambitions professionnelles, sachez que vous n’êtes pas seul(e). Il existe des opportunités, des réseaux, des formations accessibles à tous. Il suffit parfois d’oser demander de l’aide, de s’ouvrir à de nouvelles possibilités.
Un message à toutes les femmes, à tous les étudiants, à tous les rêveurs
À toutes celles et ceux qui se reconnaissent dans mon histoire, je veux dire : ne perdez jamais espoir. Même dans les moments les plus sombres, il existe des chemins vers la liberté. L’indépendance financière n’est pas un rêve inaccessible, c’est un objectif atteignable avec de la détermination, de la préparation et du courage.
N’ayez pas peur d’explorer de nouvelles voies, de vous former, de vous lancer dans l’entrepreneuriat. Utilisez vos compétences, vos passions, votre réseau. Croyez en votre potentiel, même si le monde autour de vous semble douter.
Osez écrire votre propre histoire
Aujourd’hui, je vous invite à faire un pas vers votre propre indépendance. Que vous soyez mère célibataire, étudiant, demandeur d’asile, ou simplement en quête de changement, sachez que vous avez le pouvoir de transformer votre vie.
Informez-vous sur les opportunités qui s’offrent à vous. Formez-vous pour acquérir de nouvelles compétences. Rejoignez des communautés qui partagent vos valeurs et vos ambitions. Osez sortir de votre zone de confort et tentez l’aventure de l’entrepreneuriat, même à petite échelle.
Si, comme moi, vous cherchez une activité flexible, compatible avec votre vie de famille et vos études, pourquoi ne pas explorer le marketing de réseau ou d’autres formes de travail indépendant en ligne ? Il existe des solutions pour chaque situation, il suffit d’oser les saisir.
Écrire un nouveau chapitre
Mon histoire n’est pas unique, mais elle est le reflet d’une réalité vécue par des milliers de femmes à travers le monde. Aujourd’hui, je choisis de ne plus subir, mais d’agir. Je choisis d’apprendre, de m’engager, de bâtir une vie meilleure pour ma fille et moi.
Et vous, quel sera votre choix ?
N’attendez pas que les circonstances changent. Devenez l’acteur du changement dans votre vie. Osez croire en vous, osez rêver, osez agir. C’est ainsi que commence le chemin vers la liberté.
Merci de m’avoir lue. Si mon histoire vous inspire, partagez-la autour de vous, et surtout, prenez le temps de réfléchir à ce que vous pouvez accomplir, vous aussi. L’avenir appartient à ceux qui osent !